Notre monde est bien différent de ce qu’il était il y a à peine deux ans. Nous avons élaboré cette année un plan visant à restructurer et à organiser stratégiquement notre approche en matière d’éducation et de développement international. Notre nouvelle stratégie internationale de trois ans rendra le réseau canadien des collèges et instituts à toute épreuve, grâce à son internationalisation et à son engagement mondial.
Sur la base de trois piliers, la stratégie permettra aux membres de CICan de saisir de nouvelles opportunités dans le domaine de l’éducation internationale. Elle renforcera la mobilité vers l’étranger et aidera les étudiantes et étudiants canadiens à acquérir des compétences mondiales très recherchées. Elle permettra aussi de diversifier le recrutement des étudiantes et étudiants, de faciliter la transition vers le Canada pour les étudiantes et étudiants internationaux, et de renforcer la coopération internationale grâce à de nouveaux modèles de développement des affaires.
La pandémie de COVID-19 continue d’avoir des répercussions sociales et économiques dévastatrices dans de nombreux pays à travers le monde. Avec nos membres et à travers nos projets internationaux, nous travaillons sans relâche pour répondre aux besoins des personnes les plus vulnérables au monde, et en particulier les femmes et les filles. Nous avons signé cette année quatre nouveaux accords de contribution pour étendre notre travail international dans des domaines clés (au Kenya, au Sénégal et en Tanzanie).
- Nous avons également géré 13 projets internationaux dans 16 pays.
- Plus de 60 membres y ont participé.
Pour ce qui est de la diversification du recrutement des étudiantes et des étudiants, nous collaborons déjà activement avec des partenaires à travers le monde pour développer et consolider la réputation du Canada dans le domaine de l’enseignement. Nous avons tout récemment coordonné une mission virtuelle de marketing et recrutement avec les délégués commerciaux d’Asie du Sud-Est. Ce sont 20 établissements membres de CICan qui ont participé à près de 700 réunions en tête à tête avec des agents d’éducation préalablement sélectionnés.